Martine de Pauw

Martine de Pauw                                                                    Artiste peintre

Née à Neuilly sur Seine en 1951, elle décide très tôt qu’elle sera coiffeuse. A l’age de quinze ans, toujours déterminée, elle embrasse cette profession. Elle y apprend l’architecture des coiffures, la rigueur des coupes, l’harmonie des couleurs, l’embellissement de la femme… et ne dit-on pas "coiffeur-visagiste" mot souvent associé à celui d’ "artiste "... de là à en devenir une.
En 1995, les enfants élevés, entrainée le soir par son amie Marie-Aline aux cours de peinture, elle se découvre une passion.
Mais ce n’est vraiment qu’en 1997 que son aventure picturale commence. Inscrite aux Beaux Arts de la ville
de Paris (atelier de Montparnasse), chez Mme Odile Ploton, section dessin documentaire, trompe l’œil, elle apprend la peinture à l’huile et toute sa rigueur, ombre et lumière ; sempiternelle phrase « faut que ça tourne », analyse des couleurs et de leurs mélanges, durant douze ans elle suit deux à trois fois par semaine ces cours qui la passionnent de plus en plus ; elle y exposera tous les ans aux journées portes ouvertes. Son professeur, atteignant l’age de la retraite, est obligée d’abandonner son enseignement, une déchirure.
Elle enchaine après le travail, sur les ateliers de Boulogne-Billancourt, que son amie Annick, confrontée à la même situation, vient d’intégrer. Elle s’initie à d’autres techniques, acrylique, que dorénavant elle affectionne, pastel gras et sec, aquarelle, gouache, collages… Tous les ans elle fait partie de la sélection exposée à l’Espace Landowski.
En 2010, après quarante quatre ans d’activité intensive, licenciée, elle bascule dans la retraite. La peinture prend une place  prépondérante dans sa vie, entre cours de yoga, shiatsu, feng shui, qi quong
Forte de toutes ces techniques apprises, elle associe celles-ci dans ces travaux picturaux. L’ acrylique supplante toutes les autres et les formats s’agrandissent.
Ce qu’elle affectionne par-dessus tout ce sont les regards, le reflet des âmes, quant à la mer, plutôt agitée
que l’on retrouve parmi ses œuvres elle lui rappelle les côtes atlantiques où elle passe encore de nombreuses vacances.
Juin 2013 elle expose dans le cadre de LCL en ville à l’agence Villiers à Paris « vagues à l’âme » et une série
de portraits
Décembre 2013, elle s’affiche au salon des Artistes Français, sous la prestigieuse nef du grand palais dans
le cadre d’art en capital où dès le soir du vernissage des collectionneurs la remarquent et acquièrent sa toile.